Élections législatives françaises de 2012

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FRANCE
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Affiches électorales, tracts
Bibliographie
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Afin de rendre possible l'élection de quelques candidats d'origine non-européenne ainsi que d'un pourcentage élevé de candidates, le Parti socialiste leur a, comme en 2007, réservé des circonscriptions, 22 pour les minorités ethniques, 49 % pour les femmes[1][2][3]

Avant ces nouvelles élections, il y avait seulement quelques députés métropolitains d'origine non-européenne[4], la plupart jamais identifiés comme tels par les médias qui ne mentionnent systématiquement que George Pau-Langevin: les Franco-algériens Arnaud Montebourg, Julien Dray et Jean-François Copé, les Franco-libanais Henri Jibrayel (PS) et Élie Aboud (UMP), et l'Afro-antillaise George Pau-Langevin (PS). En début de législature, il y avait également les Franco-tunisiens Dominique Strauss-Kahn (PS) et Pierre Lellouche (UMP), mais l'un est devenu directeur du Fonds monétaire international et l'autre est entré au gouvernement.

Sources

  1. Karine Perret, "Le délicat dossier des investitures aux législatives examiné par le PS", Agence France-Presse, 20 novembre 2011
  2. Lionel Laparade, "Législatives : la "diversité" diversement appréciée", La Dépêche du Midi, 29 novembre 2011
  3. Sylvia Zappi, "Législatives : la "diversité" progresse peu au PS", Le Monde, 30 novembre 2011
  4. sans compter ceux issus de familles européennes établies dans l'empire colonial français