Abdellatif Mghari

La participation politique des Bruxellois.es d'origine non-européenne
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Élections communales
Conseils consultatifs - 1976 - 1982 - 1988 - 1994 - 2000 - 2006 - 2012 - 2018 - 2024
Membres d'exécutifs communaux
Résultats officiels
Belgique
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Abdellatif Mghari, né en 1952 au Maroc, est un informaticien et un homme politique local belge.

Élu conseiller communal FDF à Koekelberg en 1994 dès sa première candidature à une élection, il est réélu au même mandat en 2000, 2006 et 2012, date à laquelle il devient échevin. En 2006, 2012 et 2018 il figurait sur une liste du bourgmestre menée par un libéral MR-PRL mais incluant des candidats (ex-)FDF, sp.a, CD&V, Open VLD, cdH et CDF. En 2018, il a été réélu sur la même liste (moins le cdH, qui en présentait une distincte), mais après les élections, cet unique élu DéFI (comme les deux du sp.a) s'est rallié à la nouvelle majorité dirigée par la tête de liste PS Ahmed Laaouej, sans toutefois redevenir échevin.

Votes de préférence aux communales

élection	place initiale	sièges à l'élection précédente	voix	place en voix
1994	10	^[1]	98	4
2000	3	5	91	5^[2]
2006	10	14^[3]	267	11
2012	5	14	210	16
2018	7	16	175	12

Notes et sources

↑ en 1988 la liste ARK, Alliance pour le renouveau de Koekelberg, regroupait FDF, PS et PSC, et avait obtenu 9 sièges; en 1982 le FDF seul en avait obtenu 7, le PS 4 et le PSC 1
↑ premier suppléant appelé à siéger car une des 3 élu.es était l'épouse de la tête de liste, l'un.e d'entre eux n'avait donc pas le droit de siéger, et bien que seulement 5ème en voix, il bénéficiait du pot commun
↑ il était cette fois candidat sur la Liste du bourgmestre, alors que se présentait par ailleurs une liste FDF-ARK qui n'obtint aucun siège

Iconographie

1999
2006
2012
2018
2019

Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires.

[1] 1988 la liste ARK, Alliance pour le renouveau de Koekelberg, regroupait FDF, PS et PSC, et avait obtenu 9 sièges; en 1982 le FDF seul en avait obtenu 7, le PS 4 et le PSC 1

[2] remier suppléant appelé à siéger car une des 3 élu.es était l'épouse de la tête de liste, l'un.e d'entre eux n'avait donc pas le droit de siéger, et bien que seulement 5ème en voix, il bénéficiait du pot commun

[3] était cette fois candidat sur la Liste du bourgmestre, alors que se présentait par ailleurs une liste FDF-ARK qui n'obtint aucun siège

[1]

[2]

[3]