Différences entre versions de « Pierre-Yves Lambert/lectures/2019 »
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#Driss Chraïbi, ''Le Passé simple'' (1954; je n'ai pas accroché, j'ai été jusqu'à la page 37) | #Driss Chraïbi, ''Le Passé simple'' (1954; je n'ai pas accroché, j'ai été jusqu'à la page 37) | ||
Version du 6 février 2020 à 12:14
2013 - 2014 - 2015 - 2016 - 2017 - 2018 - 2019 - 2020 - 2021 - 2022 - 2023 |
Romans, recueils de nouvelles
- Arundathi Roy, God of small things (1996; commencé fin 2018, ça m'a pris un mois pour le lire: c'est un très beau livre mais très difficile à lire en V.O. sans notes)
- Kurt Vonnegut, Le Pianiste déchaîné (lu, ou relu en VF parce que je l'avais acheté en VF chez Pêle-Mêle il y a longtemps)
- Yishaï Sarid, Le Troisième Temple (2016)
- Carolyn J. Cherry, L'Héritage de Chanur
- Suichi Yoshida, Parade
- Robert Silverberg, La Tour de verre
- Robert Silverberg, La Porte des mondes
- Philip José Farmer, nouvelles (Le Livre d'or de la Science-fiction)
- Robert Silverberg, Revivre encore
- Robert Heilein, Les Orphelins du ciel
- Brian Aldiss, Croisière sans escale (même thématique, xième génération d'équipage dans un vaisseau intersidéral déchu)
- Poul Anderson, Barrière mentale
- Robert Heinlein, Une Porte sur l'été
- Robert Silverberg, Le Fils de l'homme
- Susan Shwartz, Byzantium's crown (mi-fantasy mi-roman historique dans une uchronie byzantino-égyptienne)
- Cordwainer Smith, L'Homme qui acheta la Terre (tome IV des Seigneurs de l'Instrumentalité)
- Cordwainer Smith, Le Sous-Peuple (tome V des Seigneurs de l'Instrumentalité)
- Cordwainer Smith, La quête des trois mondes (tome VI des Seigneurs de l'Instrumentalité)
- Philip Jose Farmer, Chacun son tour
- Jo Clayton, Le Diadème des étoiles (tome 1 de la série Diadème)
- Jo Clayton, Lamarchos (tome 2 de la série Diadème)
- Jo Clayton, Irsud (tome 3 de la série Diadème)
- Jo Clayton, Maeve (tome 4 de la série Diadème)
- Jo Clayton, Chasseurs d'étoiles (tome 5 de la série Diadème)
- Larry Niven, Neutron Star (recueil de nouvelles)
- David Gerrold, L'Ecumeur des étoiles (1972)
- Gordon Dickson, The Outposter (1973)
- Gordon Dickson, Mission to universe (1965)
- Yoko Ogawa, Le Réfectoire un soir et une piscine sous la pluie (2 nouvelles de 1990 et 1991)
- Jacques Sadoul, Les meilleurs récits de Planet Stories (période 1944-1955)
- Walter M. Miller, Humanité provisoire (recueil de nouvelles, 1951-1954)
- Jacques Sadoul, Les meilleurs récits de Astounding Stories - période 1934-37
- Yoko Ogawa, La Marche de Mina (2006)
- EC. Tubb, Lallia (1971, dans la saga Earl Dumarest)
- Walter M. Miller, L'Héritage de Saint Leibowitz (tome 1 - Amen 1er) (1997)
- Gérard Klein, Les Tueurs du temps (1965; style vieillot, aucune touche d'humour)
- James Blish, Le lendemain du jugement dernier (1970)
- Robert Heinlein, Citoyen de la galaxie (1957)
- Ryû Murakami, Kyoko (1995)
- Robert Heinlein, L'Age des étoiles (1956)
- Norman Spinrad, Recueil de nouvelles (Le Livre d'or de la science-fiction)
- Hitonari Tsuji, L'Arbre du voyageur (1992)
- Poul Anderson, Le Monde de Satan (1968)
- Junichirô Tanizaki, La Clef. La Confession pornographique (1956)
- Scott Baker, Nouvelle recette pour canard au sang (7 nouvelles; j'ai lu jusqu'au bout, mais pas le genre de SF que j'apprécie)
- Akira Yoshimura, Liberté conditionnelle (1988, très beau roman sur la libération conditionnelle, dont est tiré le fil d'Imamura L'Anguille)
- Gordon Dickson, Pour quelle guerre (1967, dans le Cycle de Childe/Dorsaï)
- Manuel Vázquez Montalbán, Les Oiseaux de Bangkok (1983, une aventure de Pepe Carvalho)
- Yoko Ogawa, La Piscine - Les Abeilles - La Grossesse (3 nouvelles, 1990 et 1991)
- Christopher Priest, recueil de nouvelles (Le Livre d'or de la SF; je ne connaissais pas cet auteur, pas un genre de SF que j'apprécie, contrairement à mes habitudes j'avais acheté chez Pêle-Mêle quelques bouquins d'auteur.e.s autres que mes favori.te.s, ça me conforte a posteriori dans mes choix antérieurs, idem pour Scott Baker et Gérard Klein, par contre j'ai plutôt apprécié Norman Spinrad, dont je n'avais rien lu jusque-là)
- Maj Sjöwall et Per Wahlöö, L'assassin de l'agent de police (1974; une aventure de Martin Beck, je découvre le personnage et ses auteurs, pas leur dernier roman que je lirai !)
- Robert Sheckley (Le Livre d'or de la science-fiction), recueil de nouvelles
- Keizo Hino, L'Île des rêves (1985)
- Didier Daeninckx, Meurtres pour mémoire (1983, ça m'a donné envie de lire d'autres romans policiers de cet auteur, malgré son souci parfois exagéré du détail)
- Yukio Mishima, Après le banquet (1960; outre l'histoire en elle-même, intéressante description d'une campagne électorale municipale à Tokyo à la fin des années 50)
- James Blish, Un cas de conscience (1958; la première partie, excellente, avait été publiée en 1953, je conseille de ne lire ce roman que jusqu'au décollage de la fusée de retour, la deuxième partie est totalement sans intérêt)
- Manuel Vázquez Montalbán, Meurtre au comité central (1981, une aventure de Pepe Carvalho peu de temps après la fin de la dictature franquiste)
- Akimitsu Takagi, Irezumi (1948; un excellent roman policier japonais, le fait qu'il n'ai été traduit qu'en 2016, par Mathilde Tamae-Bouhon, lui confère une fraîcheur, une modernité probablement encore plus remarquable que d'autres romans, japonais ou non, traduits il y a plusieurs décennies et dont le style correspond aux canons de la langue française de l'époque)
- Petros Markaris, Liquidations à la grecque (roman policier un peu dans le style de Daeninckx)
- Meir Shalev, Un fusil, une vache, un arbre et une femme (Lecture pénible, les personnages étant tous épouvantables, mais j'ai été jusqu'au bout)
- Yukio Mishima, L'Ecole de la chair (1960)
- Manuel Vázquez Montalbán, La Solitude du manager
- Manuel Vázquez Montalbán, Les Thermes
Livres abandonnés en cours
- Driss Chraïbi, Le Passé simple (1954; je n'ai pas accroché, j'ai été jusqu'à la page 37)
Non fiction
- Ismaïl Ferhat et al., Les Foulards de la discorde. Retours sur l'affaire de Creil 1989, Fondation Jean Jaurès et Editions de l'Aube, septembre 2019
Bandes dessinées
tous les soirs de janvier et de février, parfois aussi en pleine nuit pour cause d'insomnie, j'ai lu quelques pages d'albums d'Astérix, mais aussi un Marshall Blueberry et deux Alley Oop, plusieurs Lucky Luke aussi, je m'étais arrêté aux classiques il y a longtemps, et j'avais acheté les plus récents mais je n'avais pas réalisé qu'il en était paru autant entretemps, idem d'ailleurs pour Blueberry dont j'avais lu tous les classiques jusqu'à Angel Face. Depuis le début de l'année 2019 j'ai entrepris de compléter mes collections, pas de déception avec les Blueberry de divers auteurs, par contre certains Lucky Luke que je n'avais encore jamais lus sont de piètre qualité scénaristique.
Films
- Steve McQueen, Widows (2018; vu le 01/01/2019 au White)
- Yorgos Lanthimos, The Favourite (2018, vu le 23/01/2019 à l'Aventure; un film qui deviendra probablement un classique)
- Wash Westmoreland, Colette (2018, vu le 01/02/2019 aux Galeries; excellent film, mais les personnages parlent anglais, ça fait bizarre...)
- Brian Levant, Les Pierrafeu à Rock Vegas (2000; vu en VF)
- André Cayatte, Le Dossier noir (1955)
- Christian Stengel, Seul dans la nuit (1945; excellent film policier avec Bernard Blier jeune et chevelu dans le rôle principal)
- Astérix et le Coup du menhir (1989)
- Tonnerre de dieu (1965, avec Gabin)
- Martin Roumagnac (1946, avec Gabin)
- Le Plaisir (1952, avec Gabin)
- Le Tueur (1972, avec Gabin)
- Federico Fellini, La Strada
- Jean-Pierre Mocky, La Cité de l'indicible peur (1964, avec Bourvil)
- Jean-Paul Le Chanois, Monsieur (1964, avec Gabin)
- Au service de sa majesté (j'ai regardé jusqu'au bout, mais pour moi Astérix c'est en albums ou en dessins animés, et encore, à part Les XII Travaux d'Astérix...)
- Gilles Grangier, Le Sang à la tête (1956, avec Gabin)
- Gilles Grangier, Sous le signe du taureau (1969, avec Gabin)
- Jean Girault, L'Année sainte (1976, le dernier film dans lequel Gabin a tourné)
- Henri Verneuil, Mélodie en sous-sol (1963, avec Gabin et Delon)
- Pedro Almodovar, Dolor y gloria (2019), vu le 09/06/2019 aux Galeries
- Denys de La Patellière, Rue des Prairies (1959, avec Gabin)
- Julien Duvivier, Voici venu le temps des assassins (1956, avec Gabin)
- James Gray, Ad Astra (2019, vu le 23/09/2019 à l'Aventure; scénario peu crédible)
- Guy Lefranc, Sale Temps pour les mouches (1966, un film tiré d'un roman de la série San Antonio, avec un Jean Richard très différent de Maigret, et Paul Preboist)
- Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec, Les Hirondelles de Kaboul (2019, vu le 25/09/2019 aux Galeries)
- Pierre Granier-Deferre, La Veuve Couderc (1971)
- René Clément, Les Félins (1964)
- Guy Lefranc, Béru et ces dames (1968, encore un San Antonio, tout aussi amusant et truculent que le précédent)
- Morten Tyldum, Passengers (2016, vu en VF; excellent scénario et les décors sont époustouflants)
- Ridley Scott, The Martian (2015, vu en VO avec sous-titres anglais; excellent scénario également, avec un souci remarquable de la véracité scientifique)
- Frédéric Auburtin, San-Antonio (2004; bon scénario)
- Christopher Nolan, Inception (2010, vu en VOST; scénario ingénieux, rythme trépidant, un excellent film, comme les deux précédents je l'ai loupé à sa sortie en cinéma)
- Christopher Nolan, Interstellar (2014, vu en VOST, idem que les 3 films vus précédemment sur une semaine)
- Alice et le maire (2019, vu à l'Aventure le 07/10/2019)
- Victor (1951, avec Gabin)
- Woody Allen, A rainy day in New York (2019, vu à l'UGC Toison d'or le 12/10/2019)
- Parasite (2019, vu au Vendôme le 10/11/2019; un archétype de comédie tragique / tragicomédie avec une imagination délirante et des acteur.trice.s totalement convaincant.e.s !)
- The Irishman (vu à l'Aventure le 16/11/2019; un film très long, il aurait franchement pu être raccourci; je n'avais même pas reconnu l'excellent Harvey Keitel, avec ses lunettes et ses moustaches !)
- Martin Eden (vu au Vendôme le 26/11/2019; pas principalement en italien standard -> dialogues + réalistes. Par contre, incohérences historiques volontaires et saut dans le temps, bof... Belle histoire, bien filmée, mais pas 1 chef d'oeuvre, je l'aurais préféré + proche du roman)
- Pedro Almodovar, Pepi, Luci, Bom et autres filles du quartier (1980, son premier long-métrage, vu en VOST évidemment; je l'avais vu vers la fin des années 80 dans le cadre d'une rétrospective Almodovar, revu avec plaisir !)
- Pedro Almodovar, Entre tinieblas (1983, VOST; un film culte que je n'avais plus revu depuis 30 ans, je crois)
Films abandonnés en cours
- Yorgos Lanthimos, The Lobster (2015; SF dystopique, peut-être vu à un mauvais moment, alors que je lisais Le Pianiste déchaîné de Vonnegut, et que je regardais de temps en temps un épisode de Trepalium, deux autres récits dystopiques, je n'ai d'ailleurs regardé que le premier épisode d'Ad Vitam en janvier pour la même raison, après le deuxième en février j'ai décidé d'arrêter)
- Jean Renoir, French Cancan (1955, avec Gabin; un film mièvre, et je n'aime pas les comédies musicales)
- Ryu Murakami, Tokyo Decadence (1992; je suis allergique aux scènes de bondage)
- Klaus Knoesel et Holger Neuhäuser, The High Crusade (1994)
- Federico Fellini, Roma (j'ai regardé jusqu'à la moitié, et j'ai décroché pendant la scène du repas en terrasse)
Documentaires
Séries
- Vikings (Saison 5, j'étais persuadé que ce serait la dernière, vu la fin du dernier épisode, mais apparemment non)
- Star Trek Discovery (Saison 2)
- Trepalium (abandonné après 2 épisodes)
- Ad Vitam (abandonné après 2 épisodes)
- La Trêve (abandonné après 2 épisodes)
- Endeavour (Saison 4)
- La Casa de papel (2017, Saisons 1 et 2)
- Westworld (Saison 2, je trouve que la saison 1 aurait dû suffire, la 2 est un peu trop abracabradantesque)
- Broen-Bron (Saison 4, palpitante comme les trois précédentes, j'adore la personnage principale, mais le dernier épisode laisse penser que c'est la dernière saison)
- The Team (Saison 2)
- Lost in space (2018, Saison 1)
- Elementary (Saison 7)
- Peaky Blinders (Saison 5)
- Lost in space (série originale, abandonné après 2 épisodes, le pilote et le 1)
- La Casa de papel (Saison 3, abandonné au milieu du 3ème épisode, je n'accrochais déjà pas trop, mais l'annonce de l'"opération" à l'oeil m'a choqué, a ravivé des souvenirs personnels)