Différences entre versions de « Élections municipales françaises de 1965 »
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− | [[Pierre Bassoul]], d'origine syro-libanaise<ref name="naaman">du moins selon Abdallah Naaman, ''Histoire des Orientaux de France du Ier au XXe siècle'', Ellipses, 2004 ISBN 9782729814052 p.269. Toutefois, il faut souligner que le patronyme Bassoul, s'il est en effet attesté au Liban, l'est également en Lozère, dans l'Hérault et dans le Gard, cf. le site [http://www.genealogie.com/nom-de-famille/BASSOUL.html Genealogie.com]. A part dans l'ouvrage d'A. Naaman, aucune source n'atteste l'origine "levantine" de Pierre Bassoul.</ref>, est devenu maire de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Boisset-et-Gaujac Boisset-et-Gaujac] (Gard, 711 habitants en 1968) en 1965, il l'est resté jusqu'à 1995. Il a également été conseiller général du [http://fr.wikipedia.org/wiki/Canton_d'Anduze canton d'Anduze] de 1976 à 2000, ainsi que président de la SEMAG Société d'Économie Mixte pour l'Aménagement du Gard. | + | [[Pierre Bassoul]], d'origine syro-libanaise<ref name="naaman">du moins selon Abdallah Naaman, ''Histoire des Orientaux de France du Ier au XXe siècle'', Ellipses, 2004 ISBN 9782729814052 p.269. Toutefois, il faut souligner que le patronyme Bassoul, s'il est en effet attesté au Liban, l'est également en Lozère, dans l'Hérault et dans le Gard, cf. le site [http://www.genealogie.com/nom-de-famille/BASSOUL.html Genealogie.com]. A part dans l'ouvrage d'A. Naaman, aucune source n'atteste l'origine "levantine" de Pierre Bassoul.</ref>, est devenu maire de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Boisset-et-Gaujac Boisset-et-Gaujac] (Gard, 711 habitants en 1968) en 1965, il l'est resté jusqu'à 1995. Il a également été conseiller général du [http://fr.wikipedia.org/wiki/Canton_d'Anduze canton d'Anduze] de 1976 à 2000, ainsi que président de la SEMAG Société d'Économie Mixte pour l'Aménagement du Gard. --> |
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Version du 25 août 2015 à 20:05
Élus d'origine non-européenne Maires - Conseillers généraux - Parlementaires - Europarlementaires Élections législatives de 2002 - 2007 - 2012 - 2017 Élections municipales de 1965 - 1995 - 2001 - 2008 - 2014 Listes autonomes - Partis musulmans - Partis ethniques Profils des électeurs par origine nationale ou par religion Candidat.e.s d'origine non-européenne du FN Affiches électorales, tracts Bibliographie Modifier |
Rosans (Hautes-Alpes)
"A Rosans, dans les Hautes-Alpes (387 habitants en 1962, 488 habitants en 1968), un autre ancien harki est élu au second tour sur la liste du maire sortant", le socialiste Raymond Hugues[1] qui avait été le seul maire métropolitain à demander que sa commune accueille des harkis. 28 familles de harkis avaient été installées dans un hameau de forestage en lisière du village en février 1964[2].
Saint-Céré (Lot)
Le sénateur Gaston Monnerville (radical), d'origine guyanaise, est devenu maire de Saint-Céré (Lot, 3.926 habitants en 1968) en 1964, réélu en 1965, il ne s'est plus représenté en 1971.
Saint-Sauveur-des-Pourcils (Gard)
"Dans le Gard, dès leur installation, deux anciens harkis sont élus conseillers municipaux de la commune de Saint-Sauveur-des-Pourcils[3] (265 habitants en 1962, 218 habitants en 1968), dont dépend le hameau de Villemagne[4] [2]" où avaient été installées dans un "hameau de forestage" 75 familles de harkis en novembre 1962.
Sources
- ↑ SFIO, puis PS, maire de 1947 à 1992
- ↑ 2,0 et 2,1 Fatima Besnaci-Lancou et Abderahmen Moumen, Les Harkis, Editions Le Cavalier bleu, collection Idées reçues, 2008 ISBN 9782846702089
- ↑ qui a changé de nom en 1987 pour devenir Saint-Sauveur-Camprieu
- ↑ ancien site minier (plomb et zinc)
Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires. |