Différences entre versions de « Élections communales belges de 2018 »

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#[http://web.archive.org/web/20181004125001/https://www.rtbf.be/info/regions/detail_forest-publicite-electorale-frauduleuse-de-la-liste-du-bourgmestre?id=10035848 Forest] (PS)
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===Candidatures controversées===
 
===Candidatures controversées===

Version du 1 novembre 2018 à 17:21

Électrices et électeurs, candidat.e.s et élu.e.s d'origine étrangère ou binationales.aux en Belgique
Élections fédérales - en Région de Bruxelles-Capitale - en Flandre - en Wallonie - européennes
Tractothèque (affiches, tracts) - Bibliographie - Résultats officiels
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Cadre global

Obligation de vote

  • "(...) selon le Grand baromètre RTL, Ipsos, Het Laaste Nieuws, VTM, et Le Soir (...) si le vote n'était plus obligatoire en Belgique, tant aux élections communales qu'aux législatives, les abstentionnistes seraient précisément 38%. Actuellement, les réfractaires ne sont pas plus de 10 %[1]".

Différenciation des modes de scrutin entre régions

Inscription des électeurs.trices étrangers.ères

Voix de préférence

Listes où un.e candidat.e a obtenu plus de voix de préférence que la tête de liste

2012

  1. PS-SP.A ("Liste du bourgmestre") à Saint-Josse: Emir Kir (n° 3) 1.916 voix, Jean Demannez (n° 1) 1.215
  2. SP.A-Groen à Maasmechelen: Serdar Karali (n° 5) 2.146 voix, Meriame Kitir (n° 1) 1.432

2018

  1. CD&V à Houthalen-Helchteren: Hanne Kellens (n° 2) 1.279 voix, Jef Verpoorten (n° 1) 1.199
  2. Ecolo à Fernelmont: Grégoire Delneuville (n° 3) 263 voix, Louis Lambert (n° 1) 164
  3. MR ("Ensemble pour vous (EPV) ") à Eghezée: Rudi Delhaise (échevin sortant, n° 25, dernier sur la liste) 1.773 voix, Dominique Van Roy (bourgmestre sortant, n° 1) 1.772; la liste ayant obtenu la majorité absolue (idem si elle était devenue la plus importante au sein d'une coalition), R. Delhaise est devenu automatiquement bourgmestre en raison de son score, de par le système électoral wallon pour les communales
  4. MR à Huy: Jacques Mouton (n° 27, dernier sur la liste) 362 voix, Magali Dock (n° 1) 346

Fraudes et autres infractions électorales

Corruption

  1. Namur (cdH)

Fausses procurations

  1. Neufchâteau (suspect cdH)
  2. Schaerbeek (suspect PS)

Non déclaration ou dépassements en matière de dépenses électorales

Utilisation abusive de fichiers

  1. Forest (auteur PS, employé communal et candidat, a reconnu les faits)

Candidatures controversées

Élus ayant récemment quitté le Vlaams Belang recyclés dans des listes locales ou dans d'autres partis

A Beringen et à Grimbergen, deux ex-parlementaires qui avaient quitté le Vlaams Belang en 2015 après en avoir été élus de 1999 à 2014 menaient des "listes locales", après en avoir été eux-mêmes les n°1 aux élections précédentes, sous diverses dénominations, y compris quand elles s'appelaient "Vlaams Belang" ou "Vlaams Blok".

La première, Voluit ("Complètement"), menée par Bert Schofs avec le soutien de l'Open VLD, dont l'élue de 2012 figurait en deuxième place de la liste, les autres candidat.e.s étant des ex-VB, des ex-Lijst Dedecker, des ex-N-VA, des indépendant.e.s et des Open VLD.

La seconde, Vernieuwing ("Renouveau"), menée par Bart Laeremans avec le soutien tacite du VB, qui ne présentait pas de liste contre elle, et sur lequel un de ses assistants parlementaires a même été élu, avec en guise de réciprocité tout aussi tacite la non-présentation de liste concurrente aux élections provinciales, où le frère de Bart, Jan Laeremans, était candidat à la reconduction de son mandat. Il a d'ailleurs été réélu grâce à ses voix de préférence, son parti n'ayant obtenu que deux élus, et il occupait la troisième place.

Les deux listes ont été intégrées dans les nouvelles coalitions issues des urnes en 2018.

A Beringen au sein d'une majorité avec le CD&V et la N-VA contre le SP.A de l'ancien bourgmestre, Groen, mené par une mandataire d'origine turque ex-Open VLD, et le... Vlaams Belang, en tout cas la partie non recyclée par l'Open VLD.

A Grimbergen dans une coalition avec l'Open VLD et la N-VA contre le bourgmestre CD&V sortant, le SP.A, Groen et l'Union des francophones. Par contre, bien que sa liste soit arrivée en tête et qu'il ait totalisé le meilleur score personnel dans la commune, Bart Laeremans a dû se contenter d'un échevinat, le poste de bourgmestre ne lui ayant pas été concédé en raison de l'opposition de la direction nationale de l'Open VLD.

A Ninove, la situation était plus claire, une liste Forza Ninove (FN) est arrivée largement en tête, mais il ne faisait aucun dote qu'il s'agissait de la liste officielle du Vlaams Belang, seule la N-VA nationale a hésité un moment avant de refuser de soutenir la candidature de Guy D’Haeseleer au mayorat ou de s'abstenir de s'y opposer, jusqu'à ce qu'une vidéo trop crûment raciste datant de la campagne électorale refasse surface, brisant les ambitions du candidat-bourgmestre.

La polémique autour de ces trois situations a inspiré à des député.e.s ex-N-VA hostiles au cordon sanitaire une tribune dans le magazine-site nationaliste Doorbraak dans laquelle ils ont notamment rappelé qu'en 2012 les partis traditionnels, en compris le SP.A à Alost, n'avaient pas tant fait la fine bouche quand il s'était agi de participer à des coalitions avec la N-VA dont trois échevins étaient eux-même d'ex-élus ayant récemment quitté le Vlaams Belang: Karim Van Overmeire à Alost, Bruno Stevenheydens à Beveren et Luc Sevenhans à Brasschaat. Pour eux, la motivation de l'Open VLD à Grimbergen pour refuser de soutenir l'accession de Laeremans au poste de bourgmestre relevait du pur opportunisme, la tête de liste libérale voulant simplement y accéder lui-même en lieu et place du CD&V sortant[2].

Alors que le problème s'était déjà notamment posé à Schaerbeek en 2006 au VLD et en 2012 au MR, le seul cas médiatisé en 2018 à Bruxelles ou en Wallonie de candidat issu de l'extrême droite sur une liste non extrémiste a été relevé à Courcelles chez DéFI[3], mais dans les trois cas (moins probablement pour celui de 2006) il s'agissait plutôt de situations de listes qui avaient peiné à trouver des candidats et n'avaient pas repéré ces intrus avant le dépôt des listes.

Schild en Vrienden

Après la diffusion le 5 septembre par la VRT d'un documentaire sur le groupe de jeunes d'extrême droite (dans la mouvance Pegida/AltRight) ultraraciste Schild en Vrienden (S&D), infiltré dans les milieux estudiantins et politiques[4], plusieurs candidats N-VA, CD&V et Open VLD ont soit été forcés à la démission soit ont démissionné d'eux-mêmes "pour ne pas embarrasser leur parti", certains semblent toutefois avoir eu des liens moins clairs avec S&D et ont été maintenus sur les listes, ceux sur les listes du Vlaams Belang ont été maintenus:

  1. Jeroen Bergers (7ème N-VA à Vilvorde), exclu du Conseil de la jeunesse flamande mais maintenu par la N-VA Vilvorde après qu'il ait affirmé n'avoir jamais adhéré aux idées de S&D[5]
  2. Jorden Dewachter (N-VA Puurs), démissionnaire[6]
  3. Stijn Everaert (N-VA Alost), démissionnaire[7]
  4. Werner Jansegers (Open Vld Lebbeke), maintenu[8]
  5. Dennis Laveaux (20ème N-VA à Maaseik), forcé[7]
  6. Thomas Maes (14ème CD&V à Stekene), démissionnaire[6]
  7. Olivier Paeshuyse (10ème N-VA à Retie), maintenu[8]
  8. Nick Peeters (N-VA Lubbeek), d'abord maintenu avec le soutien de Theo Francken[7], puis a démissionné le 12 septembre[9]
  9. Igor Praet (18ème N-VA à Sint-Niklaas), forcé[7]
  10. Jan Vanhove (N-VA Dendermonde), maintenu[8]

Cadres et militant.e.s négationnistes/révisionnistes rwando-belges

détails sur la page Élu.e.s belges d'origine rwandaise

Plusieurs cadres et membres rwando-belges de l'association de droit belge Jambo, liée au site révisionniste/négationniste Jambo News, étaient candidat.e.s à ces élections communales. Jambo et Jambo News se présentent comme des opposants au régime autoritaire du Front patriotique rwandais et du Président Kagamé, mais ils se sont surtout fortement opposés à une loi belge reconnaissant "les événements du printemps 1994 comme l’extermination planifiée des Tutsis dans le cadre d’un projet soigneusement préparé par un régime génocidaire", et ainsi "[dissociant] formellement les faits du régime rwandais actuel", adoptant ainsi "une lecture révisionniste de l’histoire, consistant à questionner la légitimité du gouvernement rwandais et diluer la spécificité du crime perpétré contre les Tutsis en le mettant en parallèle avec des massacres commis avant, pendant ou après le génocide"[10].

Cadres, militant.e.s, sympathisant.e.s et collabos de l'AKP

Cadres, militant.e.s, sympathisant.e.s et collabos du MHP

voir aussi Loups gris en Belgique

La première polémique de 2018 au sujet de l'infiltration des Loups gris dans les partis politiques belges date de mai avec la participation d'élu.e.s SP.A, CD&V et Groen à une marche des Loups gris à Heusden-Zolder[11].

En septembre, un candidat Groen, ex-SP.A depuis peu, sur la liste Ecolo à Saint-Josse a suscité la polémique après que des photos issues de sa page Facebook aient été diffusées où il apparaissait faisant le signe des Loups gris, ou la main sur les épaules de personnes faisant le même signe. La tête de liste Ecolo, Zoé Genot, a annoncé qu'elle le maintenait quand même sur la liste.

Début octobre, en réaction au reportage sur l'infiltration de militant.e.s d'extrême droite de l'association Schild en Vrienden (voir plus haut) dans ses rangs (et dans une moindre mesure dans ceux d'autres partis flamands), la N-VA a diffusé un petit film sur YouTube pour dénoncer la présence sur les listes des autres partis de Loups gris[12][13]. Cela a été rapidement suivi de prises de position en sens divers des partis concernés, aucun n'écartant toutefois de candidat.e, c'était de toute façon techniquement impossible puisque les listes étaient déjà clôturées, seul le CD&V en a exclu une de ses rangs à Lokeren (voir ci-dessous). La N-VA a reconnu en fin de vidéo que les Loups gris réussissent à "mouiller" des candidat.e.s comme le président de la Chambre des Représentants Siegfried Bracke, lui-même candidat de ce parti à Gand[14]

  1. Be.one
  2. CD&V: Safiye Calinalti (Lokeren[15]), Hilâl Yalçin (présidente du CPAS de Beringen, ancienne députée fédérale, qui a déclaré que le MHP n’est pas un parti d’extrême droite ou fasciste, tel qu’il est souvent dépeint: « Il s’agit plutôt de la version turque de la N-VA »[11])
  3. Groen: Muhammet Oktay (échevin à Houthalen-Helchteren[11])
  4. Open VLD: Yahya Degirmenci (Lier[16])
  5. SP.A: Engin Özdemir (échevin à Heusden-Zolder[11])

Candidat.e.s inculpé.e.s, condamné.e.s, mis.es en cause dans des dossiers judiciaires

voir e.a. Karim Fadoul, "Candidats condamnés, inculpés, mis en cause à Bruxelles: comment les partis gèrent les différents cas?", RTBF Info, 10 octobre 2018

et pour 2012 "Candidats au-dessus de tout soupçon (FDF, MR, PS, CDH, à compléter...)", Tractothèque

Dérapages racistes de candidat.e.s sur les réseaux sociaux

Listes islamiques, d'allochtones etc.

Les listes « communautaires » assumées ont fait l’objet de beaucoup (trop) d’attention médiatique uniquement quand elles étaient le fait d’allochtones et/ou de musulmans, tant leur normalité est évidente quand il s’agit de listes flamandes à Bruxelles (celles des partis ou de cartels, comme SAMEN à Auderghem) ou d’« union francophone » au Brabant flamand.

En Flandre, il s’agissait essentiellement de Be.One, surtout médiatisé parce qu’il comptait parmi ses cofondateurs une personnalité « controversée », Dyab Abou Jahjah, susceptible de « faire le buzz » et d’assouvir les besoins des médias en matière d’audimétrie et de « clicks ».

Be.One n’a réussi à présenter que peu de listes, composées de peu de candidat.e.s, en grande majorité d’origine turque, et n’a obtenu aucun.e élu.e. Etrangement, la commune où il a atteint son plus haut score (3%) est Malines, alors qu’on aurait pu penser à Anvers, terre d’élection d’Abou Jahjah, ou à Gand, où l’ancienne sénatrice verte Meryem Kaçar avait pris la tête de la liste. Même ses listes pour les conseils de districts anversois, où le seuil de représentation est de facto plus bas, n’ont décroché aucun siège. Par contre, surtout à Anvers, la campagne d’affichage de Be.One a été très active, avec une présence très marquée surtout à Borgerhout et à Hoboken. Les autres listes « allochtones » qui présentaient des candidat.e.s à Gand (Multiculturele Recht Partij, Vlaams Multicultureel Collectief, De Spiegel) et à Zele (VMC) ont obtenu des scores encore plus marginaux.

Par contre, les listes uniquement anversoises de D-SA, qui comptaient des élu.e.s en rupture avec Groen et le SP.A (comme Antwerpen bewust en 2006), ont réussi à faire réélire deux membres sortant.e.s des conseils de district d’Anvers, Morad Ramachi, ex-Groen, qui avait été appelé à siéger en septembre 2014 pour remplacer Imad Annouri, élu député régional en juin, et de Hoboken, Yeliz Çitak, ex-SP.A, qui était élue depuis 2006 et avait été échevine de district pendant son premier mandat. Arfan Saber, ex-Groen et ex-Spirit/SLD, n’a par contre pas été réélu à Deurne, où il siégeait déjà depuis 2006. Çitak avait quitté le SP.A en décembre 2012, furieuse de ne pas avoir à nouveau obtenu un poste d’échevine malgré son score et accusant son parti d’avoir cédé devant l’exigence de son partenaire de coalition, la N-VA, pour avoir un collège exécutif "blanc"[17]. Ramachi avait quitté Groen en mai 2016 « par choix personnel »[18].

A Bruxelles et en Wallonie, les projecteurs médiatiques s’étaient focalisés sur le parti Islam, déjà lors d’élections précédentes en 2012 et en 2014, ce alors qu’à plusieurs reprises des observateurs avaient informé des journalistes de diverses rédactions que ce parti, au-delà de sa capacité à « faire le buzz », ne comptait en réalité qu’une poignée de membres.

Le dirigeant d’Islam, Redouan Ahrouch, un des deux seuls élus de ce parti en 2012, avait annoncé, encore en avril 2018, la présentation de listes dans les principales villes wallonnes et flamandes ainsi que dans quatorze des dix-neuf communes bruxelloises. Sa propre liste à Anderlecht a été invalidée avant l’élection car ayant échoué à recueillir le nombre requis d’électeur.trice.s pour sa présentation, seules celles de Bruxelles-Ville et de Molenbeek ont concouru, chacune avec le minimum légalement requis de deux candidat.e.s de sexes différents, sans obtenir de siège (1,80% à Molenbeek , contre 4,12% en 2012 , 1,60% à Bruxelles-Ville , contre 2,90% en 2012 ).

A Bruxelles-Ville, un autre parti de même nature et tout aussi groupusculaire, Salem, scission d’Islam, a présenté une liste de trois candidat.e.s, sans plus de succès (0,55% ).

En Wallonie, le Mouvement pour l'éducation (MPE) de Mohamed Guermit, qui avait brièvement conclu un alliance électorale en 2014 avec Islam, n’a quant à lui présenté que trois listes, dont deux avec un seul candidat et une avec trois, dont une femme (l'obligation de compter au moins deux candidat.e.s n’existant qu’en Région de Bruxelles-capitale), qui n’ont recueilli que des scores marginaux (108 voix, 1,11% à Fléron contre 124 et 1,54% pour Islam aux législatives de 2014 , 210 voix, 0,21% à Liège contre 1.577 et 1,58% en 2014 , 1,50% à Dison contre 102 et 1,35% en 2014 ).

Sources

  1. Belga, "38% d'abstention si le vote n'était plus obligatoire", 7 sur 7, 9 octobre 2018
  2. Veerle Wouters et Hendrik Vuye, "Een schutkring rond het cordon sanitaire?" (Un "circuit de protection"/cordon autour du cordon sanitaire?), Doorbraak, 23 octobre 2018
  3. "Courcelles: DéFI coupe les ponts avec un candidat proche de l'extrême droite", RTBF Info, 11 octobre 2018
  4. lire e.a. à ce sujet Gauthier De Bock, "Qui sont les "Schild & Vrienden" ?", Moustique, 6 septembre 2018
  5. Belga, "Un sympathisant de l'organisation Schild & Vrienden reste sur la liste communale N-VA à Vilvorde", La Libre Belgique, 13 septembre 2018
  6. 6,0 et 6,1 "Ook CD&V-kandidaat; stapt op om banden met Schild & Vrienden", De Standaard, 6 septembre 2018
  7. 7,0, 7,1, 7,2 et 7,3 "Schild & Vrienden: al drie kandidaten van N-VA-lijst geschrapt", De Standaard, 6 septembre 2018
  8. 8,0, 8,1 et 8,2 Steven Vanden Bussche et Jan Walraven, "Schild & Vrienden heeft/had mannetjes op verschillende lijsten", Apache.be, 6 septembre 2018
  9. "N-VA-kandidaat Lubbeek trekt zich terug na Schild & Vrienden: 'Via mij wil men Francken treffen'", De Standaard, 12 septembre 2018
  10. extrait de la carte blanche de la chercheuse Laetitia Tran Ngoc parue dans Le Soir du 18 avril 2018
  11. 11,0, 11,1, 11,2 et 11,3 Liliana Casagrande, "Des échevins belges dans une parade d’extrémistes turcs du MHP" (article traduit, originalement paru en néerlandais dans Het Belang van Limburg) Daardaar, 8 mai 2018
  12. N-VA, "Infiltreren de Grijze Wolven in de politiek?" (vidéo), 4 octobre 2018
  13. Belga, "La N-VA se mue en reporter traquant les loups gris chez la concurrence", Le Vif, 4 octobre 2018
  14. voir aussi la photo publiée à ce sujet par Marc Van Ranst sur Facebook
  15. Belga, "Le CD&V; exclut une candidate sympathisante des "loups gris", une organisation turque d'extrême droite", La Libre Belgique, 4 octobre 2018
  16. Belga, "L'Open Vld soutient le candidat de Lierre soupçonné de sympathie avec les Loups gris", La Libre Belgique, 5 octobre 2018
  17. Joris van der Aa et Vincent Verbruggen, "Districtsschepen stapt boos op bij SP.A", Het Nieuwsblad, 19 décembre 2012
  18. Peter Simoens, "Coalitie heeft geen meerderheid meer in districtsraad", Gazet van Antwerpen, 6 mai 2016

Voir aussi

Liens externes

Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires.