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Dans la Chine impériale, la nationalité chinoise était inaliénable. "Tout au plus, la loi de 1909 stipulait-elle que, si tel était le cas, une autorisation du gouvernement de Pékin devait être préalablement sollicitée<ref>Odette Guitard, ''Bandoeng et le réveil des peuples colonisés'', Paris, P.U.F. (Que sais-je ?), 1961, p.20</ref>." Le rôle important joué par les Chinois d'outre-mer dans la révolution nationaliste de 1911 leur valut d'obtenir une représentation spécifique dans le premier Sénat de la République<ref>Guitard 1961, pp.20-21</ref>. Sous le régime communiste, ils furent représentés au sein de la Conférence consultative politique du peuple chinois, puis, à partir de 1954 (Constitution du 20/9) au Congrès National du Peuple<ref>Guitard 1961, p.21</ref>.

==Sources==
<references/>

[[catégorie:représentation parlementaire des diasporas|Chine]]