Différences entre versions de « Latifa Aït-Baala »

De Suffrage Universel
Aller à : navigation, rechercher
Ligne 13 : Ligne 13 :
 
==Iconographie==
 
==Iconographie==
 
<gallery>
 
<gallery>
 +
Uffb20061.jpg|conseil supérieur des Français de l'étranger 2006
 +
Uffb20062.jpg|conseil supérieur des Français de l'étranger 2006
 +
Uffb20063.jpg|conseil supérieur des Français de l'étranger 2006
 
Aitbaala2012.jpg|communales 2012
 
Aitbaala2012.jpg|communales 2012
 
Aitbaala2019.jpg|régionales 2019
 
Aitbaala2019.jpg|régionales 2019

Version du 22 juin 2019 à 10:15

Électrices et électeurs, candidat.e.s et élu.e.s d'origine étrangère ou binationales.aux en Belgique
Élections fédérales - en Région de Bruxelles-Capitale - en Flandre - en Wallonie - européennes
Tractothèque (affiches, tracts) - Bibliographie - Résultats officiels
modifier

Latifa Aït-Baala est une juriste et une femme politique maroco-franco-belge. Depuis juin 2019 elle est membre du Parlement (régional) bruxellois pour le Mouvement réformateur (MR).

Diplômée d'universités françaises et suisse[1], elle a été assistante parlementaire de l'eurodéputée Les Verts Alima Boumediene-Thiery jusqu'en juin 2004, date de fin de mandat de celle-ci et de la candidature de Mme Aït-Baala sur la liste MR aux élections européennes. A l'époque, des membres d'Ecolo s'étaient inquiétés qu'une candidate MR continue à travailler pendant sa campagne électorale dans les bureaux du groupe des Verts européens.

Candidate à plusieurs reprises par la suite à diverses élections belges et françaises, elle a été appelée à siéger en tant que première suppléante après les élections régionales bruxelloises de 2019, à la suite de la démission pour cause de cumul du bourgmestre franco-belge d'Uccle, Boris Dilliès.

Outre ses activités politiques belgo-belges, elle est connue pour son rôle actif dans le lobbying (la propagande) aux niveaux belge, européen et international en faveur de la cause de la "marocanité du Sahara"[2], ce qu'elle a elle-même confirmé dans une interview donné à l'agence de presse d'Etat marocaine MAP en 2013: "Depuis des années, c'est avec les libéraux du MR qui siègent au Parlement européen que Latifa Ait Baala mène, assure-t-elle, le combat pour déjouer les manœuvres des adversaires politiques et du lobby 'pro-polisario'", "Il n'est, justement, pas rare de la voir porter la voix du Maroc aux travaux de la Commission des droits de l'Homme, du Conseil des droits de l'Homme et de la IV-ème Commission à New York [3]". Et à nouveau en 2017, le site d'information marocain Le Desk fait son éloge, sans cacher ses liens sécuritaires marocains: "La politicienne très engagée en faveur de son pays d’origine et dont le corbeau « Chris Coleman » avait révélé ses liens avec le service de renseignement extérieur marocain (DGED), est soupçonnée de vouloir inclure dans sa short-list des mouvements terroristes le Front Polisario. Elle avait été à la manœuvre pour produire un documentaire à charge contre les séparatistes. Polisario, l’identité d’un Front réalisé par Hassan El Bouharrouti avait en effet reçu le soutien financier et médiatique de Rabat[4]".

Notes

  1. cf. ses mentions biographiques sur son propre site
  2. Lina S., "Une élue «belge» en service commandé des services secrets marocains à l'UE", Algérie patriotique, 2 avril 2017
  3. MAP, "Latifa Ait Baala, une marocaine à la conquête de l'Europe", H24 Info, 23 mars 2013
  4. Kenza Filali, "La belgo-marocaine Latifa Aït Baala sous le feu roulant du Polisario", Le Desk, 2 avril 2017

Iconographie

Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires.