Statistiques ethniques et religieuses en Asie occidentale

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Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires.

Les ouvrages ou articles traitant de tout ou partie de l'Asie occidentale (incluant les "Proche-Orient", "Moyen-Orient", "Mashreq" etc.) mentionnent la plupart du temps des statistiques ethniques et religieuses, souvent assez précises en pourcentages ou en nombre de personnes concernées.

En 1981-1982, pour la préparation de mon "examen de maturité" (L'Unité arabe en histoire et Palestine: whose country ? en anglais)) en fin d'études secondaires belges, et dans les années qui ont suivi pour la préparation (jamais concrétisée) d'un mémoire de licence (Stratification ethnopolitique dans les états post-ottomans du Bilad al-Sham), j'ai consulté des centaines d'articles de presse, scientifiques ou encyclopédiques, et de livres, de mémoires et de thèses de doctorats dans différentes langues romanes et germaniques que j'étais capable de lire (aperçu bibliographique).

L'impression qui se dégageait fortement en était

  1. qu'il existait d'un côté des statistiques officielles résultant de recensements et d'un autre des statistiques dont l'origine n'était jamais mentionnée
  2. que les recensements n'étaient pas nécessairement fiables, par exemple parce que certains recensés craignaient l'utilisation fiscale des données recueillies
  3. que de nombreux auteurs pratiquaient le plagiat le plus éhonté en "adaptant" (sans le préciser) des pourcentages ou des données brutes parfois anciennes par rapport à l'évolution connue ou supposée de la population d'un pays donné