Différences entre versions de « Statistiques ethniques et religieuses en Asie occidentale »

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Les ouvrages ou articles traitant de tout ou partie de l'Asie occidentale (incluant les "Proche-Orient", "Moyen-Orient", "Mashreq" etc.) mentionnent la plupart du temps des statistiques ethniques et religieuses, souvent assez précises en pourcentages ou en nombre de personnes concernées.  
 
Les ouvrages ou articles traitant de tout ou partie de l'Asie occidentale (incluant les "Proche-Orient", "Moyen-Orient", "Mashreq" etc.) mentionnent la plupart du temps des statistiques ethniques et religieuses, souvent assez précises en pourcentages ou en nombre de personnes concernées.  
  
En 1981-1982, pour la préparation de mon "examen de maturité" (deux travaux de fin d'études secondaires belges, sur ''L'Unité arabe'' en histoire et ''Palestine: whose country ?'' en anglais), et dans les années qui ont suivi pour la préparation (jamais concrétisée) d'un mémoire de licence (''Stratification ethnopolitique dans les états post-ottomans du Bilad al-Sham''), j'ai consulté des centaines d'articles de presse, scientifiques ou encyclopédiques, et de livres, de mémoires et de thèses de doctorats dans différentes langues romanes et germaniques que j'étais capable de lire ([http://web.archive.org/web/20010410094614/http://users.skynet.be/suffrage-universel/ottoman.htm aperçu bibliographique très limité]).
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En 1981-1982, pour la préparation de mon "examen de maturité" (deux travaux de fin d'études secondaires belges, sur ''L'Unité arabe'' en histoire et ''Palestine: whose country ?'' en anglais), et dans les années qui ont suivi pour la préparation (jamais concrétisée) d'un mémoire de licence (''Stratification ethnopolitique dans les états post-ottomans. Le cas du Bilad al-Sham.''), j'ai consulté des centaines d'articles de presse, scientifiques ou encyclopédiques, et de livres, de mémoires et de thèses de doctorats dans différentes langues romanes et germaniques que j'étais capable de lire ([http://web.archive.org/web/20010410094614/http://users.skynet.be/suffrage-universel/ottoman.htm aperçu bibliographique très limité]).
  
 
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[[Catégorie:Histoire ethnopolitique du Bilad al-Sham]]

Version du 18 octobre 2019 à 08:46

Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires.
L'élargissement du concept d'ahl al-kitâb
Sièges réservés dans l'Empire ottoman - dans l'État du Hatay - en Irak (au Kurdistan irakien) - en Iran - en Jordanie - au Liban (au Mont-Liban ottoman) - en Palestine - en Syrie
Statistiques ethniques et religieuses en Asie occidentale - à Bahrein - en Syrie
Bibliographies
minorités en Asie occidentale - en Syrie; Nord-Caucasiens en Asie occidentale - Druzes - Tziganes d'Asie occidentale

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Les ouvrages ou articles traitant de tout ou partie de l'Asie occidentale (incluant les "Proche-Orient", "Moyen-Orient", "Mashreq" etc.) mentionnent la plupart du temps des statistiques ethniques et religieuses, souvent assez précises en pourcentages ou en nombre de personnes concernées.

En 1981-1982, pour la préparation de mon "examen de maturité" (deux travaux de fin d'études secondaires belges, sur L'Unité arabe en histoire et Palestine: whose country ? en anglais), et dans les années qui ont suivi pour la préparation (jamais concrétisée) d'un mémoire de licence (Stratification ethnopolitique dans les états post-ottomans. Le cas du Bilad al-Sham.), j'ai consulté des centaines d'articles de presse, scientifiques ou encyclopédiques, et de livres, de mémoires et de thèses de doctorats dans différentes langues romanes et germaniques que j'étais capable de lire (aperçu bibliographique très limité).

L'impression qui se dégageait fortement en était

  1. qu'il existait d'un côté des statistiques officielles résultant de recensements et d'un autre des statistiques dont l'origine n'était jamais mentionnée
  2. que les recensements n'étaient pas nécessairement fiables, par exemple parce que certains recensés craignaient l'utilisation fiscale des données recueillies, comme au Liban en 1922 et en 1932, ou parce qu'il y a eu des manipulations, comme dans le sandjak d'Alexandrette en 1938
  3. que de nombreux auteurs pratiquaient le plagiat le plus éhonté en "adaptant" (sans le préciser et sans mentionner la source initiale) des pourcentages ou des données brutes parfois anciennes par rapport à l'évolution connue ou supposée de la population d'un pays donné

Statistiques officielles émanant d'autorités étatiques

Arabie saoudite

Bahrein

voir Statistiques ethniques et religieuses à Bahrein

Émirats arabes unis

Irak

Iran

Israël

Jordanie

Koweït

Liban

Oman

Palestine

Qatar

Syrie

voir Statistiques ethniques et religieuses en Syrie

Turquie

Yémen

Statistiques émanant d'autorités ecclésiastiques ou assimilées

Statistiques émanant de sources scientifiques

Statistiques d'origines diverses

Sources