Différences entre versions de « Sonia Dahou »
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[[Fichier:Dahou2014.jpg|thumb|Tract électoral 2014. Source: [http://www.pslesulis.fr/ site du PS des Ulis]]] | [[Fichier:Dahou2014.jpg|thumb|Tract électoral 2014. Source: [http://www.pslesulis.fr/ site du PS des Ulis]]] | ||
| + | '''Sonia Dahou''', née en Tunisie en 1974, est une femme politique française, maire PS des Ulis (Essonne, 24.641 habitants en 2011, ville nouvelle créée en 1977). | ||
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| + | Elle est arrivée en France en 1992 pour y faire des études de mathématiques et de physique à la Faculté d'Orsay. Elle est devenue cadre à la Direction générale des finances publiques et s'est engagée au Parti socialiste. En 2008, elle est candidate sur la liste PS de Maud Olivier, qui devient maire, elle en devient la quatrième adjointe, chargée de la démocratie locale, de l'information et de la communication. Quand Mme Olivier devient députée en [[élections législatives françaises de 2012|2012]], elle choisit de renoncer à son mandat de maire pour conserver celui de conseillère générale du canton des Ulis<ref name="parisien120709">"[http://www.leparisien.fr/orsay-91400/une-ex-etudiante-venue-de-tunisie-a-la-tete-des-ulis-09-07-2012-2083216.php Une ex-étudiante venue de Tunisie à la tête des Ulis]", ''Le Parisien'', 9 juillet 2012</ref>. | ||
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| + | « Le fait que je sois une femme issue de l'immigration est un symbole d'espoir. Des jeunes vont pouvoir se dire : C'est possible. Mais je ne veux pas être qu'un symbole<ref name="parisien120709"/>. » | ||
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Version du 29 janvier 2014 à 22:31
Sonia Dahou, née en Tunisie en 1974, est une femme politique française, maire PS des Ulis (Essonne, 24.641 habitants en 2011, ville nouvelle créée en 1977).
Elle est arrivée en France en 1992 pour y faire des études de mathématiques et de physique à la Faculté d'Orsay. Elle est devenue cadre à la Direction générale des finances publiques et s'est engagée au Parti socialiste. En 2008, elle est candidate sur la liste PS de Maud Olivier, qui devient maire, elle en devient la quatrième adjointe, chargée de la démocratie locale, de l'information et de la communication. Quand Mme Olivier devient députée en 2012, elle choisit de renoncer à son mandat de maire pour conserver celui de conseillère générale du canton des Ulis[1].
Citation
« Le fait que je sois une femme issue de l'immigration est un symbole d'espoir. Des jeunes vont pouvoir se dire : C'est possible. Mais je ne veux pas être qu'un symbole[1]. »
Sources
- ↑ 1,0 et 1,1 "Une ex-étudiante venue de Tunisie à la tête des Ulis", Le Parisien, 9 juillet 2012