Listes citoyennes autonomes multiculturelles en France

De Suffrage Universel
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FRANCE
Élus d'origine non-européenne
Maires - Conseillers généraux - Parlementaires - Europarlementaires
Élections législatives de
2002 - 2007 - 2012 - 2017
Élections municipales de
1965 - 1995 - 2001 - 2008 - 2014
Listes autonomes - Partis musulmans - Partis ethniques
Profils des électeurs par origine nationale ou par religion
Candidat.e.s d'origine non-européenne du FN
Affiches électorales, tracts
Bibliographie
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Lors d'élections municipales depuis 1989, plus rarement à l'occasion d'élections régionales (Émergence en 2010), des listes citoyennes autonomes multiculturelles sont présentes sur la scène politique locale de la France métropolitaine depuis au moins les municipales de 1989 (Texture à Lille par exemple).

Souvent diabolisées par les politiciens en place, que ce soit pour leur inexpérience et incompétence supposées, ou pour leur "communautarisme", elles ont parfois réussi à obtenir des élus soit seules, au premier (La nouvelle gauche qui tente sa chance à droite à Hem en 2001, Les Gens d'Hellemmes en 2008) ou au second tour (Les Gens d'Hellemmes en 2001, Parti des Grignois en 2008), soit après fusion au second tour (Motivé-e-s à Toulouse en 2001, Changeons d'ère à Grande-Synthe en 2008).

Il existe deux variantes de ce phénomène, les groupes locaux autonomes multiculturels qui négocient des places sur des listes traditionnelles avant le premier tour () et les listes citoyennes autonomes multiculturelles qui sont adoubées par des partis traditionnels non ou peu implantés dans certaines communes (Grande-Synthe pour tous adoubée par le Modem en 2008).

Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires.