Listes citoyennes autonomes multiculturelles en France

De Suffrage Universel
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Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires.

Lors d'élections municipales depuis 1989, plus rarement à l'occasion d'élections régionales (Émergence en 2010), des listes citoyennes autonomes multiculturelles sont présentes depuis au moins les municipales de 1989 (Texture à Lille par exemple).

Souvent diabolisées par les politiciens en place, que ce soit pour leur inexpérience et incompétence supposées, ou pour leur "communautarisme", elles ont parfois réussi à obtenir des élus soit seules, au premier (La nouvelle gauche qui tente sa chance à droite à Hem en 2001) ou au second tour (Gens d'Hellemmes en 2001, Parti des Grignois en 2008), soit après fusion au second tour (Motivé-e-s à Toulouse en 2001, Changeons d'ère à Grande-Synthe en 2008).

Il existe deux variantes de ce phénomène, les groupes locaux autonomes multiculturels qui négocient des places sur des listes traditionnelles avant le premier tour () et les listes citoyennes autonomes multiculturelles qui sont adoubées par des partis traditionnels non ou peu implantés dans certaines communes (Grande-Synthe pour tous adoubée par le Modem en 2008).