Différences entre versions de « Bourgmestres belges d'origine étrangère »

De Suffrage Universel
Aller à : navigation, rechercher
Ligne 1 : Ligne 1 :
Il y a eu des bourgmestres belges d'origine étrangère dès le XIXème siècle, de père et/ou de mère, ou eux-mêmes, non (citoyen.ne<ref>précision nécessaire pour inclure les élu.e.s d'origine congolaise RDC) belge de naissance. Etant donné le nombre de communes, avant et après fusion (2.492 en 1831, 2.675 en 1928, 2.359 avant et 596 après la fusion des communes de 1975, 581 au 1er janvier 2019<ref>"[https://web.archive.org/web/20080915145839/https://www.belgium.be/fr/la_belgique/pouvoirs_publics/communes Les communes]", ''Site gouvernemental Belgium.be''</ref> <ref>"[https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusion_de_communes_en_Belgique Fusion de communes en Belgique]", ''Wikipédia francophone''</ref>), et la faible notoriété extralocale de la plupart de ces édiles, la liste qui suit est probablement très incomplète. Seul.e.s des bourgmestres, donc pas des "faisant fonction" ("f.f.") sont repris ci-dessous. Birol Cokgezen a bien prêté serment comme bourgmestre " de plein droit" de Saint-Nicolas le 30 mai 2011 en vertu du Code (régional wallon) de la démocratie locale<ref>(Art. L1123-4. §1er. Est élu de plein droit bourgmestre, le conseiller de nationalité belge qui a obtenu le plus de voix de préférence sur la liste qui a obtenu le plus de voix parmi les groupes politiques qui sont parties au pacte de majorité adopté en application de l’article L1123-1.</ref> à la suite de la condamnation du bourgmestre Patrick Avril à 5 ans d'inéligibilité suite au rejet de son recours en Cassation le 18 mai.  
+
Il y a eu des bourgmestres belges d'origine étrangère dès le XIXème siècle, de père et/ou de mère, ou eux-mêmes, non (citoyen.ne<ref>précision nécessaire pour inclure les élu.e.s d'origine - partiellement ou non - congolaise RDC comme Pierre Kompany, né en 1947 à Bukavu au Congo belge, "[[Élections_communales_au_Congo_belge#Citoyens.2C_sujets_et_.C3.A9trangers|sujets belges]]" jusqu'en 1960, jamais "citoyen.ne.s belges"</ref>) belge de naissance. Etant donné le nombre de communes, avant et après fusion (2.492 en 1831, 2.675 en 1928, 2.359 avant et 596 après la fusion des communes de 1975, 581 au 1er janvier 2019<ref>"[https://web.archive.org/web/20080915145839/https://www.belgium.be/fr/la_belgique/pouvoirs_publics/communes Les communes]", ''Site gouvernemental Belgium.be''</ref> <ref>"[https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusion_de_communes_en_Belgique Fusion de communes en Belgique]", ''Wikipédia francophone''</ref>), et la faible notoriété extralocale de la plupart de ces édiles, la liste qui suit est probablement très incomplète. Seul.e.s des bourgmestres, donc pas des "faisant fonction" ("f.f.") sont repris ci-dessous. [[Birol Cokgezen]] a bien prêté serment comme bourgmestre " de plein droit" de Saint-Nicolas le 30 mai 2011 en vertu du Code (régional wallon) de la démocratie locale<ref>(Art. L1123-4. §1er. Est élu de plein droit bourgmestre, le conseiller de nationalité belge qui a obtenu le plus de voix de préférence sur la liste qui a obtenu le plus de voix parmi les groupes politiques qui sont parties au pacte de majorité adopté en application de l’article L1123-1.</ref> à la suite de la condamnation du bourgmestre Patrick Avril à 5 ans d'inéligibilité suite au rejet de son recours en Cassation le 18 mai.  
  
 
==D'origine étrangère européenne==
 
==D'origine étrangère européenne==

Version du 21 octobre 2018 à 10:23

Il y a eu des bourgmestres belges d'origine étrangère dès le XIXème siècle, de père et/ou de mère, ou eux-mêmes, non (citoyen.ne[1]) belge de naissance. Etant donné le nombre de communes, avant et après fusion (2.492 en 1831, 2.675 en 1928, 2.359 avant et 596 après la fusion des communes de 1975, 581 au 1er janvier 2019[2] [3]), et la faible notoriété extralocale de la plupart de ces édiles, la liste qui suit est probablement très incomplète. Seul.e.s des bourgmestres, donc pas des "faisant fonction" ("f.f.") sont repris ci-dessous. Birol Cokgezen a bien prêté serment comme bourgmestre " de plein droit" de Saint-Nicolas le 30 mai 2011 en vertu du Code (régional wallon) de la démocratie locale[4] à la suite de la condamnation du bourgmestre Patrick Avril à 5 ans d'inéligibilité suite au rejet de son recours en Cassation le 18 mai.

D'origine étrangère européenne

Électrices et électeurs, candidat.e.s et élu.e.s d'origine étrangère ou binationales.aux en Belgique

Élections communales de 1994 - 2000 - 2006 - 2012 - 2018 - dans des communes spécifiques
Élections en Région bruxelloise - Autres élections
Tentatives d'autonomisation politique des allochtones en Belgique - Partis musulmans en Belgique - Profils des électeurs par origine nationale ou par religion
Bibliographie
modifier
  1. Emile Braun, bourgmestre libéral de Gand de 1895 à 1921, né de parents allemands
  2. Paul Errera, bourgmestre libéral d'Uccle de 1912 à 1921, né de père italien (consul général d'Italie en Belgique)
  3. Carl Herrmann-Debroux, bourgmestre libéral d'Auderghem de 1912 à 1921, de père allemand et de mère belge
  4. Urbain Kowalski, bourgmestre socialiste de Cheratte de 1952 à sa mort en 1964, petit-fils naturalisé de mineurs polonais
  5. Herman Suykerbuyk, bourgmestre social-chrétien d'Essen de 1965 à 1995, né de père néerlandais et de mère belge
  6. Yvan Ylieff, bourgmestre socialiste d'Andrimont de 1973 à 1976, puis de Dison (après la fusion des communes) de 1977 à 2018, de père bulgare et de mère française
  7. John Taylor, bourgmestre social-chrétien de Wichelen de 1982 à sa mort en 2004, fils d'un soldat anglais et d'une Flamande
  8. Serge Kubla, bourgmestre libéral de Waterloo de 1983 à 2015, de père tchèque
  9. Yves de Jonghe d'Ardoye d'Erp, bourgmestre libéral d'Ixelles de 1993 à 2000, binational franco-belge de père belge et de mère française
  10. Marc Tarabella, bourgmestre socialiste d'Anthisnes depuis 1994
  11. Jacques Falcinelli, bourgmestre socialiste de Farciennes de 1994 à 2000
  12. Elio Di Rupo, bourgmestre socialiste de Mons de 2000 à 2018, de parents italiens
  13. Paul Furlan, bourgmestre socialiste de Thuin depuis 2000, de père italien et de mère belge
  14. Carlo Di Antonio, bourgmestre cdH de Dour depuis 2006, de père italien et de mère belge
  15. Luciano D'Antonio, bourgmestre socialiste de Colfontaine depuis 2006
  16. Jean-Charles Luperto, bourgmestre socialiste de Sambreville depuis 2006, binational franco-belge de père belge et de mère française
  17. Florence Reuter, bourgmestre libérale de Waterloo depuis 2015, de parents français, Française naturalisée belge
  18. Boris Dilliès, bourgmestre libéral d'Uccle depuis 2017, binational franco-belge de père français

D'origine étrangère non-européenne

Électrices et électeurs, candidat.e.s et élu.e.s d'origine étrangère ou binationales.aux en Belgique
Élections fédérales - en Région de Bruxelles-Capitale - en Flandre - en Wallonie - européennes
Tractothèque (affiches, tracts) - Bibliographie - Résultats officiels
modifier
  1. Birol Cokgezen, bourgmestre socialiste de Saint-Nicolas du 30 mai 2011 au 15 juin 2011
  2. Emir Kir, bourgmestre socialiste de Saint-Josse depuis 2012, de parents turcs
  3. Nadia Sminate, bourgmestre N-VA de Londerzeel depuis 2015, de père marocain et de mère flamande
  4. Mohammed Ridouani, bourgmestre socialiste de Louvain depuis 2018, de parents marocains
  5. Christos Doulkeridis, bourgmestre écologiste d'Ixelles depuis 2018, de parents grecs, de grands-parents grecs pontiques réfugiés de Turquie
  6. Pierre Kompany, bourgmestre social-chrétien de Ganshoren depuis 2018, Congolais naturalisé belge
  7. Ahmed Laaouej, bourgmestre socialiste de Koekelberg depuis 2018, de parents marocains
    1. précision nécessaire pour inclure les élu.e.s d'origine - partiellement ou non - congolaise RDC comme Pierre Kompany, né en 1947 à Bukavu au Congo belge, "sujets belges" jusqu'en 1960, jamais "citoyen.ne.s belges"
    2. "Les communes", Site gouvernemental Belgium.be
    3. "Fusion de communes en Belgique", Wikipédia francophone
    4. (Art. L1123-4. §1er. Est élu de plein droit bourgmestre, le conseiller de nationalité belge qui a obtenu le plus de voix de préférence sur la liste qui a obtenu le plus de voix parmi les groupes politiques qui sont parties au pacte de majorité adopté en application de l’article L1123-1.