Avoda-France

Le Avoda-France est la "section française du mouvement mondial sioniste travailliste", de facto la section française du Parti travailliste israélien^[1].

Rôle électoral vis-à-vis de a communauté juive, des "quartiers juifs"

En avril 1978, François Mitterrand assiste, avec Shimon Peres, à l'assemblée générale d'Avioda-France et y prononce un discours très pro-israélien, que les militants de ce parti impriment aux fins de le distribuer "dans les quartiers juifs de la capiotale et auprès des communautés de province":

Extrait de: Yves Azéroual et Yves Derai, Mitterrand, Israël et les juifs

Dirigeants

Roger Ascot (1928-2011), journaliste et père du journaliste Claude Askolovitch, a été président d’Avoda-France en 1978^[2].
En 1992, le président du bureau national d'Avoda-France était Daniel Marcovitch, élu PS au conseil de Paris^[3]
Simon Hazziza (-2022) a également été président d'Avoda-France, ainsi que vice-président de Socialisme et Judaïsme, avant d'émigrer en Israël en 2008^[4]

Sources

↑ "Mouvement Avoda-France (section française du mouvement mondial sioniste travailliste)", Journal officiel (Objet: "promotion et transmission des valeurs juives dans une optique sioniste travailliste"; Siège social (1997): 34, rue Truffaut, 75017 Paris; Date de la déclaration de l'association (qui existait déjà de facto depuis des décennies) en préfecture de police: 10 avril 1997
↑ Yves Azéroual et Yves Derai, Mitterrand, Israël et les juifs, Paris, Robert Lafont, 1990, p.132
↑ "Une initiative prise en France pour restaurer l'image de l'Etat juif", Le Monde, 21 juillet 1992
↑ Annie Rapoport Rayski, "Hommage. Viviane et Simon Hazziza", Communauté nouvelle (magazine du Fonds social juif unifié), n°222, avril 2022

[1] "Mouvement Avoda-France (section française du mouvement mondial sioniste travailliste)", Journal officiel (Objet: "promotion et transmission des valeurs juives dans une optique sioniste travailliste"; Siège social (1997): 34, rue Truffaut, 75017 Paris; Date de la déclaration de l'association (qui existait déjà de facto depuis des décennies) en préfecture de police: 10 avril 1997

[2] Yves Azéroual et Yves Derai, Mitterrand, Israël et les juifs, Paris, Robert Lafont, 1990, p.132

[3] "Une initiative prise en France pour restaurer l'image de l'Etat juif", Le Monde, 21 juillet 1992

[4] Annie Rapoport Rayski, "Hommage. Viviane et Simon Hazziza", Communauté nouvelle (magazine du Fonds social juif unifié), n°222, avril 2022

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