Élections municipales françaises de 1965

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FRANCE
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Bibliographie
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Rosans (Hautes-Alpes)

"A Rosans, dans les Hautes-Alpes (387 habitants en 1962, 488 habitants en 1968), un autre ancien harki est élu au second tour sur la liste du maire sortant", le socialiste Raymond Hugues[1] qui avait été le seul maire métropolitain à demander que sa commune accueille des harkis. 28 familles de harkis avaient été installées dans un hameau de forestage en lisière du village en février 1964[2].

Saint-Céré (Lot)

Le sénateur Gaston Monnerville (radical), d'origine guyanaise, est devenu maire de Saint-Céré (Lot, 3.926 habitants en 1968) en 1964, réélu en 1965, il ne s'est plus représenté en 1971.

Saint-Sauveur-des-Pourcils (Gard)

"Dans le Gard, dès leur installation, deux anciens harkis sont élus conseillers municipaux de la commune de Saint-Sauveur-des-Pourcils[3] (265 habitants en 1962, 218 habitants en 1968), dont dépend le hameau de Villemagne[4] [2]" où avaient été installées dans un "hameau de forestage" 75 familles de harkis en novembre 1962.

Sources

  1. SFIO, puis PS, maire de 1947 à 1992
  2. 2,0 et 2,1 Fatima Besnaci-Lancou et Abderahmen Moumen, Les Harkis, Editions Le Cavalier bleu, collection Idées reçues, 2008 ISBN 9782846702089
  3. qui a changé de nom en 1987 pour devenir Saint-Sauveur-Camprieu
  4. ancien site minier (plomb et zinc)
Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires.