Différences entre versions de « Élections municipales françaises de 1965 »
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+ | *Dominique Olivesi, "[http://web.archive.org/web/20130527123421/http://www.ihtp.cnrs.fr/spip.php%3Farticle368&lang=fr.html L’utilisation des rapatriés dans les Alpes-Maritimes (1958-1965)]", ''Bulletin de l’Institut d’histoire du temps présent'', n°79 (Les Français et la politique dans les années soixante - II) | ||
+ | *Laurence Wycke, ''Carnoux-en-Provence: symbole du vote pied-noir ?'' (mémoire), IEP, Aix-Marseille 3, 2001 | ||
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Élus d'origine non-européenne Maires - Conseillers généraux - Parlementaires - Europarlementaires Élections législatives de 2002 - 2007 - 2012 - 2017 Élections municipales de 1965 - 1995 - 2001 - 2008 - 2014 Listes autonomes - Partis musulmans - Partis ethniques Profils des électeurs par origine nationale ou par religion Candidat.e.s d'origine non-européenne du FN Affiches électorales, tracts Bibliographie Modifier |
Rosans (Hautes-Alpes)
"A Rosans, dans les Hautes-Alpes (387 habitants en 1962, 488 habitants en 1968), un autre ancien harki est élu au second tour sur la liste du maire sortant", le socialiste Raymond Hugues[1] qui avait été le seul maire métropolitain à demander que sa commune accueille des harkis. 28 familles de harkis avaient été installées dans un hameau de forestage en lisière du village en février 1964[2].
Saint-Céré (Lot)
Le sénateur Gaston Monnerville (radical), d'origine guyanaise, est devenu maire de Saint-Céré (Lot, 3.926 habitants en 1968) en 1964, réélu en 1965, il ne s'est plus représenté en 1971.
Saint-Sauveur-des-Pourcils (Gard)
"Dans le Gard, dès leur installation, deux anciens harkis sont élus conseillers municipaux de la commune de Saint-Sauveur-des-Pourcils[3] (265 habitants en 1962, 218 habitants en 1968), dont dépend le hameau de Villemagne[4] [2]" où avaient été installées dans un "hameau de forestage" 75 familles de harkis en novembre 1962.
Sources
- ↑ SFIO, puis PS, maire de 1947 à 1992
- ↑ 2,0 et 2,1 Fatima Besnaci-Lancou et Abderahmen Moumen, Les Harkis, Editions Le Cavalier bleu, collection Idées reçues, 2008 ISBN 9782846702089
- ↑ qui a changé de nom en 1987 pour devenir Saint-Sauveur-Camprieu
- ↑ ancien site minier (plomb et zinc)
Bibliographie sur l'intégration politique des Pieds-noirs dans les années 60
- Frédéric Delmonte, "L'enjeu électoral des rapatriés à Toulon et dans le Var dans les années 60 (Résumé d’un mémoire de DEA soutenu à la Facultés des Lettres de Nice)", Recherches régionales Alpes-Maritimes et Contrées limitrophes, 40ème année, n° 151, octobre-décembre 1998
- Dominique Olivesi, "L’utilisation des rapatriés dans les Alpes-Maritimes (1958-1965)", Bulletin de l’Institut d’histoire du temps présent, n°79 (Les Français et la politique dans les années soixante - II)
- Laurence Wycke, Carnoux-en-Provence: symbole du vote pied-noir ? (mémoire), IEP, Aix-Marseille 3, 2001
Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires. |