Différences entre versions de « Élections municipales françaises de 1965 »

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===Boisset-et-Gaujac (Gard)===
 
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[[Pierre Bassoul]] (PS), d'origine levantine, est devenu maire de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Boisset-et-Gaujac Boisset-et-Gaujac] (Gard, 711 habitants en 1968) en 1965, il a également été conseiller général du [http://fr.wikipedia.org/wiki/Canton_d'Anduze canton d'Anduze] de 1976 à 2000, président de la SEMAG Société d'Économie Mixte pour l'Aménagement du Gard<ref name="naaman">Abdallah Naaman, ''Histoire des Orientaux de France du Ier au XXe siècle'', Ellipses, 2004 ISBN 9782729814052 p.269</ref>.
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[[Pierre Bassoul]] (PS), d'origine levantine, est devenu maire de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Boisset-et-Gaujac Boisset-et-Gaujac] (Gard, 711 habitants en 1968) en 1965, il l'est resté jusqu'à 1995. Il a également été conseiller général du [http://fr.wikipedia.org/wiki/Canton_d'Anduze canton d'Anduze] de 1976 à 2000, ainsi que président de la SEMAG Société d'Économie Mixte pour l'Aménagement du Gard<ref name="naaman">Abdallah Naaman, ''Histoire des Orientaux de France du Ier au XXe siècle'', Ellipses, 2004 ISBN 9782729814052 p.269</ref>.
  
 
===Rosans (Hautes-Alpes)===
 
===Rosans (Hautes-Alpes)===

Version du 18 octobre 2014 à 09:18

FRANCE
Élus d'origine non-européenne
Maires - Conseillers généraux - Parlementaires - Europarlementaires
Élections législatives de
2002 - 2007 - 2012 - 2017
Élections municipales de
1965 - 1995 - 2001 - 2008 - 2014
Listes autonomes - Partis musulmans - Partis ethniques
Profils des électeurs par origine nationale ou par religion
Candidat.e.s d'origine non-européenne du FN
Affiches électorales, tracts
Bibliographie
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Boisset-et-Gaujac (Gard)

Pierre Bassoul (PS), d'origine levantine, est devenu maire de Boisset-et-Gaujac (Gard, 711 habitants en 1968) en 1965, il l'est resté jusqu'à 1995. Il a également été conseiller général du canton d'Anduze de 1976 à 2000, ainsi que président de la SEMAG Société d'Économie Mixte pour l'Aménagement du Gard[1].

Rosans (Hautes-Alpes)

"A Rosans, dans les Hautes-Alpes, un autre ancien harki est élu au second tour sur la liste du maire sortant", le socialiste Raymond Hugues[2] qui avait été le seul maire métropolitain à demander que sa commune accueille des harkis[3].

Saint-Céré (Lot)

Le sénateur Gaston Monnerville (radical), d'origine guyanaise, est devenu maire de Saint-Céré (Lot) en 1964, réélu en 1965, il ne s'est plus représenté en 1971.

Saint-Sauveur-des-Pourcils (Gard)

"Dans le Gard, dès leur installation, deux anciens harkis sont élus conseillers municipaux de la commune de Saint-Sauveur-des-Pourcils[4], dont dépend le hameau de Villemagne[5] [3]."

Sources

  1. Abdallah Naaman, Histoire des Orientaux de France du Ier au XXe siècle, Ellipses, 2004 ISBN 9782729814052 p.269
  2. SFIO, puis PS, maire de 1947 à 1992
  3. 3,0 et 3,1 Fatima Besnaci-Lancou et Abderahmen Moumen, Les Harkis, Editions Le Cavalier bleu, collection Idées reçues, 2008 ISBN 9782846702089
  4. qui a changé de nom en 1987 pour devenir Saint-Sauveur-Camprieu
  5. ancien site minier (plomb et zinc) où avait été installé un "hameau de forestage" peuplé de 75 familles de harkis
Attention: cet article est en cours de rédaction, il s'agit donc d'une ébauche et certains éléments peuvent donc être prochainement modifiés suite à la consultation de sources supplémentaires.